Dans le monde de l'infiniment petit, la théorie quantique supprime la notion de trajectoire. Il est donc impossible de mesurer simultanément la position et la vitesse d'une particule. En partant de ce postulat, une particule ne peut pas être au repos, sinon il serait possible de mesurer une vitesse nulle en plus d'une position.
Il existe néanmoins un état de plus basse énergie, nommé état fondamental, qui n'est pas égal à zéro. Le vide quantique est donc, pour un système, son état fondamental. Bien qu'on lui donne ce nom, il contient toujours une quantité d'énergie, ce qui fait que le monde quantique n'est jamais absolument immobile. »
Aussi ces particules en fonction des points de vue et de l’observateur changent sans arrêt de direction. Ce qui montre que chacun peut influencer la matière. Jusqu’à quel point ? Celui des limites que nous nous sommes fixées consciemment et inconsciemment mais aussi celui de notre poids du passé. En effet notre passé influence nos choix, nos actions.
« Il n’a pas été possible de formuler les lois de la mécanique quantique de manière totalement cohérente sans référence à la conscience. » Eugene Wigner, physicien théoricien et mathématicien. Il a reçu le prix Nobel de physique en 1963.